Commentaire de Polimeris
sur Le petit chaperon rouge revu et... corrigé
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Je ne saisi pas très bien quel ton vous prenez ici Asinus. Aussi me contenterais je d’énoncer une vérité qui bien que simple apparaîtra (je l’espère) évidente pour tous : sur-interpréter un conte, c’est comme chercher un grain de sel dans la mer : vous ne pouvez pas en extraire un car ils sont tous intriqués les uns aux autres et bien fades pris seul à seul.
Les contes contiennent une quantité phénomènale de sens, de significations cachées et de révélateurs de courants de société. Je pourrai vous présenter une dizaine de contes pronant la peine de mort, l’action irréfléchie mais bienheureuse, l’intolérance et la cupidité. Des classiques de surcroit.
Parler de la promotion social via le mariage, c’est déjà de la sur-interprétation des contes.
De plus, il y a dans les contes bien autant de bergers qui épousent des princesses que de bergères qui épousent des princes.
Peut ête confondez vous avec les pastorales qui sont d’un genre bien différent des contes ?