Commentaire de John Lloyds
sur Le jour ou le capitalisme s'arrêta
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Mouais, Bof, faire du pognon en publiant un bouquin pour enfoncer des portes ouvertes, du genre "il faut sauver la planète" ou "le capitalisme, c’est vilain", ce Kempf arrange plus son compte en banque (quelle ironie) qu’il ne fait avancer le schmilblik ; ça me fait penser à ces groupes de rock qui chantent "fuck the system" et qui touchent des droits sur les produits dérivés et autres T-shirts qui portent leur marque. Encore du vent à 2 balles