Commentaire de ddacoudre
sur Le jour ou le capitalisme s'arrêta


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ddacoudre ddacoudre 13 janvier 2009 08:59

bonjour olivier

totalement d’accord avec toi, mais sortir du capitalisme est un acte difficile qui ne peut venir de la seule raison qui ne nous commende que pour nous faire exécuter ce que nous ressentons de notre environnement.

d’une autre manière tous peuvent comprendre que la planète se réchauffe, c’est accessible à notre raisonnement ce n’est pas pour autant que globalement nous modifions nos comportements de consommation et cela, même ceux qui se réclament partisan de la défense de la planète, proposent la relance de la croissance qui creuse notre tombe.

cela ne changera que lorsque une utopie forte portera l’espérance humaine, parce que des êtres en seront affectés émotionnelle ment, parce que cela aura une raisonnance dans leur être qui conduira à des modifications du comportements. ce n’est que le même processus qui est utilisé pour nous faire consommer.

Cette tache pour être efficace doit être universelle, car s’il faut qu’un état donne l’exemple à lui seul il n’inversera pas la tendance et le capitalisme mourra de vieillissement, alors que là il faudrait en sortir. si ceux qui mettent leur talent de marketing a nous pousser à la compulsion d’achat le mettaient à défendre l’espèce humaine les résultat seraient meilleur.

je pense que se fera jour d’autres solutions, certaines sont dans le berceau que beaucoup étouffent, j’ignore quel drame surgira pour quelle se lèvent, bien que j’en ai une idées assez précise, mais l’histoire ne répète les même scénario cyclique que recomposé avec le vivant de l’instant où il survient. cela fait que l’on peut prévoir la guerre cyclique mais pas la forme qu’elle revêtira.

je te joins un extrait d’un essai sur la recherche d’une autres forme de source de richesse que j’ai écrit en 1999.

 

Alors pourquoi un enseignement dont la mission républicaine est d’instruire ne pourrait-il pas devenir une source de richesse, et représenter une dynamique progressiste. Il est important de noter à cet instant, que pour ceux qui seraient prêts à travailler gratuitement, le travail ne manquerait pas. Car lorsque nous disons qu’il n’y a pas de travail de manière populaire, personne ne corrige cette assertion qui cache ainsi que ce qui fait défaut est l’équivalant monétaire pour réaliser « le travail » ; et qu’il ne s’agit donc pas d’un problème de manque de « travail » mais d’un manque de monnaie.

Cette réflexion conduit inévitablement à une harmonisation nécessaire de l’utilisation des masses monétaires et du temps dans notre existence, face à l’insatisfaction permanente, de nos désirs, qui nous conduirait à toujours trouver une justification pour travailler indéfiniment.

 

De telle manière que la répartition du temps nous commande d’élaborer des projets de sociétés. Pourquoi pas vers une dynamique du temps libre.

 C’est pourquoi dans l’évolution de la durée du travail, ce qui m’intéresse particulièrement, c’est le temps libre. Car c’est cette quête là, aussi, qui nous a sorti du seul labeur, et il ne servirait à rien de consigner notre savoir dans des millions d’ouvrages s’il ne pouvait être lu ou enseigné.

C’est pour cela que l’usage que je préconise de ce temps libre peut y être consacré, comme une activité productrice, de la même manière que le sont toutes les autres activités auxquelles nous nous livrons durant ce temps libre, c’est simplement une nouvelle dynamique, où le temps passé à produire et remplacé petit à petit par un temps consacré à s’instruire.

 

Une nouvelle dynamique qui nécessite de forcer son intelligence.


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