Commentaire de Pascal GILBERT
sur La liberté thérapeutique en danger
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Les dérives de la médecine ne sont, à mon sens, pas une justification pour permettre que d’autres fassent de même. Que vous acceptiez que T. Cruise vous dicte vos (ses) choix thérapeutiques est votre affaire, mais il ne vous appartient pas de l’imposer aux autres, ni de refuser que ses assertions soient testées. L’important n’est pas qui le fait mais les méthodes qui sont employées, et que ces dernières tiennent la route .
La question que j’ai posée reste donc entière : qui va tester les alternatives et avec quels protocoles ?
Merci de votre lien sur le financement de l’AFSSAPS, fort pertinent. Là je vous rejoins entièrement : c’est à l’impôt de financer ces agences. (Un problème identique se pose pour le financement de la FDA au USA).