Commentaire de olivier cabanel
sur Stéphane Guillon, l'insolence nécessaire
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chantecler
c’est étrange,
on a l’impression que le monde que vous voulez défendre n’est pas celui que vous défendez,
beaucoup de contradictions dans ce que vous avez écrit,
la violence des armes est l’arme des faibles,
et celle des mots, le contraire.