Commentaire de lss
sur Vingt-cinq ans après sa mort, Brassens reste écouté ; un paradoxe ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

lss (---.---.141.237) 30 octobre 2006 14:26

Et si les textes de Brassens n’étaient appréciés, tout simplement, que parce qu’il a un humour, tantôt tendre, tantôt grivois, avec un réel talent poétique ?

Il me semble être, comme Audiard, un amoureux des mots.


Voir ce commentaire dans son contexte