Commentaire de clostra
sur « Récréation » mathématique
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Ce qui m’a séduite dans cet article c’est le ton badin. Sorte de convergence entre le discours et la mathématique, ceci me rappelle l’instant exact où j’ai démystifié les constantes, répendant à tout vat la bonne nouvelle : la constante c’est ce qu’on trouve pour faire tomber le calcul dans l’exactitude. Autre grand moment : la découverte des « conventions ».(ça me poursuit : et si le pôle nord passait au pôle sud, notre épi spiralé du haut de la tête s’inverserait-il ? et le lierre...)
Détestant les mathématiques, je me mis à les aimer, disons : je les avais apprivoisées, rendues à leur juste valeur.
Ainsi peut-on facilement concevoir pleins d’autres univers avec pleins d’autres constantes (variables de l’un à l’autre évidemment !).
Allons vite porter la bonne nouvelle partout dans les lycées de France et de Navarre.
Il y a des nombres qui nous vont au teint : celui des acides aminés, celui des lettres, celui des phonèmes fondamentaux (c’est incroyable !).