Commentaire de décurion
sur Négriers de salon... de thé
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« De la blague de comptoir de la France d’en bas »
Voilà une phrase, dont une partie au moins méritait une police bien grasse. S’agit il d’un lapsus révélateur d’un « francisme » qui ne dirait pas son nom ?
C’est une boutade, mais pas tant que ça.
A vous lire, vous et d’autres, on a l’impression désagreable , que les sentiments devraient comme la terre tourner toujours dans le même sens.
En fait, nous n’avons jamais été payé pour Vercingétorix, mais il faudrait que l’on paye pour les Jules César depuis que le monde existe.
En tout cas, ce qui est sur, c’est que je ne me sens nullement supérieur à qui que ce soit, tout en sachant par expérience que nous ne sommes pas égaux entre nous, et l’important n’est pas d’étaler son humanité, mais de pouvoir chaque matin, se regarder et se supporter.
Le reste, c’est du blabla, parce que c’est au pied du mur qu’on reconnait l’artisan.