Commentaire de décurion
sur Négriers de salon... de thé
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Les mots n’ont de l’importance qu’en fonction du contenu qu’on leur donne.
Ainsi, tout le monde s’accorde à reconnaitre, que nous sommes en démocratie, tout en sachant que la réalité et la définition sont aux antipodes l’une de l’autre.
A mon sens, la conséquence en est, que les citoyens acceptent des sacrifices par respect d’une démocratie qui n’existe plus, alors que la révolte deviendrait une solution morale et légitime, en admettant une autre réalité.
Comme vous le dîtes, la pensée précède l’acte .
Si vous dîtes que le racisme est la haîne de l’autre, c’est une erreur linguistique, mais néammoins acceptable et compréhensible, par contre, lorsque vous affirmez, que ne pas « donner » sa fille à un arabe, à un noir, etc.....c’est également du racisme, vous commettez une erreur grossière, car dans ce cas, vous placez votre interlocuteur dans la position du réfractaire au STO, collaborer, donner sa fille à qui la veut, ou prendre le maquis, s’accepter comme raciste .
Le principe de précaution, c’est de s’abstenir dans le doute, nous savons qu’il n’est pas et pour des siècles encore, dans la nature humaine d’ etre parfait, et c’est pourquoi le mieux est souvent l’ennemi du bien.