Commentaire de Imhotep
sur Eric Naulleau versus l'artiste offusqué ou l'habituel duel du samedi soir


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Imhotep Imhotep 28 avril 2009 12:28

Je propose à l’auteur de l’article et à Naulleau de lire ce livre de John Cowper Powis : Les plaisirs de la littérature. Ils y apprendront que toute littérature, tout livre a sa place dès l’instant où il y a un lecteur. Cet auteur est à mon sens un bien plus grand critique littéraire que Naulleau et était lui-même écrivain et poète, fils de poète. Il a été un très grand conférencier et non un saltimbanque.


La critique est un droit, l’insulte non. Contrairement à ce que dit l’auteur de cet article, c’est Naueau (y compris Semmour) qui a insulté Lalanne en premier. Il a été d’une outrageante critique et insultante. Il a parlé de merde et de théorie délirante (alors que la théorie développée par Lalanne n’a rien de délirante). Il nous a fait le coup de ses vers composés en trois minutes quand Lalanne a mis un an pour écrire son texte. Lalanne lui a même mis une claque en faisant à la volée des vers et en improvisation. Et en lui disant que crier fort était redondant.

Les poètes sont souvent très sensibles à propos de leur travail. On considère en poésie que les sonnets sont le summum car les contraintes imposées sont telle qu’elles libéreraient le poètes par le phénomène étrange et contradictoire qu’elle impose le travail et la réflexion et fait ressortir ceux dont les qualités sont supérieures. Comme un sculpteur est contraint par la matière.Il arrive souvent que la contrainte fasse naître la beauté.

Lalanne a eu tort à la fin de s’énerver y compris d’insulter et cela a paru enfantin de dire que c’était Naulleau qui avait commencé. Mais l’un était sous l’empire de la colère et de l’indignation l’autre avait écrit sous la morgue et l’orgueil.

En plus Naulleau est allé se plaindre qu’après l’émission Lalanne était allé en remttre une couche et l’aurait menacé. C’est petit bras.

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