La critique d’Israël et l’antisionisme sont deux choses différentes. On ne peut mettre sur un même plan la critique des politiques d’un état, voir même d’un état, et la volonté de destruction d’un état. 

Mon article tend à prouver que les antisionistes venant de l’ultra-gauche ont rejoins les négationistes antisémites dans un mariage d’intérêt : le point de départ des uns étant le point d’arrivée des autres, le tout organisé par le régime de Téhéran.

D’ailleurs l’actualité abonde dans mon sens avec le soutien de Carlos, du Hamas et du Hezbollah à la liste de Dieudonné !

Je pense que même si un antisioniste n’est pas par nature antisémite, il le devient sans s’en rendre compte en fréquentant ce genre de mouvement noyauté et piloté par des antisémites tels que Ginette Skandrani, Maria Poumier ou Yahia Gouasmi...