Commentaire de Paul Cosquer
sur Les quarante ans de Woodstock, entre mythe et réalité
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Sociologue aussi à mes heures (on va dire ça : un poète c’est multi cartes), nous sommes passés du pouvoir des fleurs et de la musique (du hippie send love, en quelque sorte) au « no future » puis au « no life » (virtuel) et bientôt pourquoi pas au « no life at all » voire au « totally dead ». Brrr !
« All you need is love » : comme c’est loin !