Commentaire de Paul Cosquer
sur Les quarante ans de Woodstock, entre mythe et réalité


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Paul Cosquer 11 juillet 2009 12:58

Sociologue aussi à mes heures (on va dire ça : un poète c’est multi cartes), nous sommes passés du pouvoir des fleurs et de la musique (du hippie send love, en quelque sorte) au « no future » puis au « no life » (virtuel) et bientôt pourquoi pas au « no life at all » voire au « totally dead ». Brrr !

 « All you need is love » : comme c’est loin !


Voir ce commentaire dans son contexte