l’invasion de hordes de claque-dents, de pousse-mégots, de traîne-patins et de peigne-bites, affluant des trente-six coins de la planète pour le transformer en crapoteuse succursale du tiers monde ?

Bois Guibert a éprouvé le besoin d’en rajouter une couche dans l’indignité, en parlant, en ces termes (ci-dessus), d’êtres humains : on lui saura gré de cet aveu.

Quant au Peripate, oui : j’évoque bien, à l’occasion, des êtres indignes et nuisibles ; car ils sont, hélas, légion, comme chacune de tes interventions le démontre ; indignes et nuisibles à la simple justice, à la plus élémentaire humanité, en défendant becs et ongles un système qui a fait la preuve, et pas qu’un peu, de sa nuisance et de son indignité, en réduisant les 2/3 de l’humanité à la misère, en mettant le feu à la planète, en aggravant toutes les injustices, en procédant à la privatisation du vivant, et en considérant les hommes comme de simples variables d’ajustement, comme du temps des esclaves.

En revanche, je n’ai jamais parlé de « s’en débarrasser » ; ce concept n’entre pas dans ma grille de valeurs (mais plutôt dans celle des libéraux, qui ont, entre autres, soutenu le serial meurtrier Pinochet) ; je parle de les mettre hors d’état de nuire  ; ce qui n’a strictement rien à voir ; hors d’état de nuire aux autres, c’est à dire, leur enlever tout pouvoir de décision sur les affaires de la marche du monde, les priver du pouvoir d’oppression, d’exploitation, de nuisance dont la réalité démontre qu’ils font preuve à chaque instant ; les rendre inoffensifs, en les privant de ce pouvoir, c’est tout.

Ta tentative de désinformation et d’amalgame tombe, une fois de plus, à plat, et conforte, s’il en était besoin, l’accusation d’indignité, tout à fait justifiée à ton égard.

C’est mon dernier mot, Jean Pierre...