Commentaire de Emmanuel Guillot
sur Droit de préférence : abusif dans le cadre de l'édition numérique
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Oui. Qu’il se nomme « libraire » ou « éditeur », l’auteur aura en tout cas toujours besoin d’un relais pour faire passer son livre auprès du public. Et si l’éditeur fait réellement son travail de direction littéraire, il peut difficilement être remplacé. En revanche, cette machine ouvre des perspectives, quand on sait la part que prennent par exemple les distributeurs (13% du prix du livre pour Calibre, par exemple, là où les auteurs touchent 8 à 10% en règle générale...).