Commentaire de décurion
sur La peur, instrument de pouvoir !
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La mère, dans son intérieur confortable, qui a peur pour son enfant , résulte d’un abus de langage.
La mère qui a vu son enfant égorgé sous ses yeux, est écrasée de chagrin, de désespoir, elle peut néanmoins trouver le courage de défendre à en mourir ses autres enfants.
La voisine qui a entendu les cris est tétanisée, et probablement se laissera égorgée sans une plainte, paralysée par la peur.
Celui que l’on pend à un croc de boucher pour le vider de son sang souffre. Celui qui entend les cris du supplicié à peur d’être le suivant. Le danger passé, il lui reste le goût amer de la flétrissure, pour n’avoir rien fait pour son peut être frère, ami ou voisin.
Lorsque vous saurez ce qu’est la peur, nous en reparleront, en attendant, toute référence à tf1 est franchement déplacée.