Commentaire de ddacoudre
sur Quand la misère fait bander
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bonjour jean claude
j’ai bien aimer ton analyse.
mais il faut bien admettre que notre société c’est sur ce sujet trouvé un sujet qui fédère.
régulièrement se sujet resurgit, alors qu’il s’en déroule au quotidien, et souvent la question que je me pose est indépendamment du fond sur lequel tu t’es exprimé, qui choisit de faire d’un de ces événements la l’Une que reprendrons systématiquement tous les médias, qui fera la joie des lecteur ou auditeur en leur fournissant l’occasion de déverser leur rancœur accumulé sur des tracas quotidien.
le plus sur moyen de résoudre le tourisme sexuel est de demander aux entreprises qui s’installent dans ce pays et bien d’autres de rémunérer les travailleurs convenablement pour que la richesse qu’ils produisent leur revienne, etc ; etc ; tu connais la chanson.
alors ils m’emmerdent avec ce type d’information régulière qui nous ferait croire que nous sommes les bons occidentaux qui luttons contre toutes les formes d’exploitation de son prochain, alors que nous maintenons par veulerie la seule forme d’exploitation capitaliste par le travail qui entraine et développe ce type de commerce dans certains pays.
c’est certainement triste pour ces enfants et j’en conviens qu’il faut agir pour que cela cesse en donnant à leur parent les moyens de vivre, mais c’est moins dramatiques que tous les enfants d’Afrique qui meurent de faim ou du paludisme et autre, sauf que personne ne se jette sur les médias pour lire la nouvelle, pourtant s’ils se font violer alors c’est autre chose.
comme me dirait un ami psychiatre cherchons la névrose chez les individus et le but chez les marchands.
cordialement.