allons... on ne peut reprocher à ce cher furtif de suivre le chemin tracé par Descartes. je ne peux me priver ici de mettre ce qu’il pensait de l’ésotérisme :

Descartes, Discours de la méthode (1637), I, in Oeuvres et Lettres, Paris, Gallimard, « Pléiade », 1953, p. 126, 128, 131.

•  "Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée (...). Ne m’étant pas contenté des sciences qu’on nous enseignait, j’avais parcouru tous les livres traitant de celles qu’on estime les plus curieuses et les plus rares (...). Pour les mauvaises doctrines, je pensais déjà connaître assez ce qu’elles valaient, pour n’être plus sujet à être trompé ni par les promesses d’un alchimiste, ni par les prédictions d’un astrologue, ni par les impostures d’un magicien, ni par les artifices ou la vanterie d’aucun de ceux qui font profession de savoir plus qu’ils ne savent."