Commentaire de ddacoudre
sur La faim de la crise
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bonjour frédéric
surpris par ton analyse qui est bien fondé et reflète les problèmes qu’il ne faut pas créer quand l’on veut aider d’autres états quand l’on en fait qu’une approche seulement morale. l’action humanitaire demande la connaissance que tu soulèves. la recherche vivrières tente d’apporter une solution dans le cadre des agricultures possibles dans les régions concernés, mais il ne faut pas nier que souvent ce sont nos organisations basées sur le libre échange qui a contraint nombres de ces pays d’abandonner leur production vivrière pour produire une agriculture tourné vers l’exportation afin de rentrer des devises pour rembourser l’endettement au FMI, et s’offrir les produits manufactures que leur propose l’occident.
l’écart de développent qu’il existent entre ces pays et l’occident demandait autre chose que l’impérialisme dont nous avons fait preuve pour profiter de leur richesse sans un juste retour parce que notre organisation économique développe des modèles « égoïstes » qui ne se réforment que dans le conflit. c’est pour cela que souvent il m’arrive d’écrire que le capitalisme n’a pas atteint l’âge adulte au regard de l’histoire humaine, ou l’on peut écrire qu’il est un formidable étouffoir des consciences.
il n’y a pas beaucoup de gens qui savent qu’il y a eu une mutation pour être réceptif à la lactose, bien qu’il demeure une controverse, et que certains scientifiques ont établi que notre consommation de plantes vivrières, ne sont plus celles que consommaient les hommes préhistoriques, ce qui laisse supposer que ce n’a pas du être la seule mutation.
cordialement.