Commentaire de frédéric lyon
sur Minarets, quelle était la bonne question à poser au peuple suisse ?


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frédéric lyon 16 décembre 2009 12:25

Voici l’article 18 de la Déclaration des Droits de l’Homme, qui sert de préambule à notre Constitution :

« Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction.... »

Or il se trouve que les musulmans n’ont pas le droit de changer de religion, car la religion musulmane prohibe l’apostasie et la punie de mort. 

Il apparait donc bien que la religion musulmane NE PEUT PAS bénéficier de la liberté de religion et que cette religion devrait donc être interdite, en vertu de l’Article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Malheureusement, la violation de l’Article 18 n’est pas la seule incompatibilité manifeste du droit coranique avec la Constitution Républicaine, puisque cette incompatibilité commence avec la source divine du droit musulman, qui s’oppose bien sûr au fondement laïc et démocratique de notre Droit et de notre Constitution.

Disons le carrément le respect de notre Droit IMPLIQUE l’abandon du Droit Coranique, car il ne peut avoir deux juridictions sur le territoire de la République.

Il aurait fallu s’apercevoir avant de cette incompatibilité majeure, qui n’était pourtant pas si difficile à apercevoir.

Le problème est que, contrairement à la Bible et à la plupart des textes de base de toutes les autres religions, le Coran n’est pas un texte religieux, ni un traité de Morale, mais c’est un traité de Droit et un traité Politique, qui entre donc en conflit direct avec notre Droit et avec les fondements démocratiques notre politique.


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