Commentaire de olivier cabanel
sur Capitalisme, l'impossible moralisation
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JL
je te comprends,
mais j’ai bien peur qu’en fin de compte il n’y ait qu’un seul capitalisme,
il fonctionne comme une gangrène, un cancer,
et il ne s’arrêtera que lorsqu’il n’aura plus rien à « manger »,
c’est d’ailleurs le problème qu’il commence à rencontrer.
je ne crois pas qu’on puisse « l’encadrer » (au sens propre, comme au figuré d’ailleurs).