Commentaire de fredleborgne
sur Le lancer libérateur
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Autant une godasse (en criant « c’est une sandale »), des oeufs , de la farine, des tomates pourries, une tarte peuvent faire redescendre sur terre quelques politocards (BHL lui est incurable, c’est de l’acharnement tartapeutique, autant un objet lourd et contondant comme a dégusté Silvio Berlusconi tient plus de l’attentat meurtrier que de la blessure d’amour-propre.
Je n’encourage pas, je ne cautionne pas les atteintes à la personne, mais il faut bien reconnaitre que dans leurs discours et leurs décisions, ils se moquent de nous. Alors, moi-même, j’esprime mon mépris pour eux avec les mots qu’ils méritent, matinés d’auto-censure et de netéthique.
« Le jour viendra où les traitres paieront »
A bon entendeur