Commentaire de lechoux
sur 2010 ou le calme qui précède la tempête
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La mesure radicale à appliquer était de laisser tomber les banques. Nous aurions vu tout de suite lesquelles étaient solvables. Et pour quelle raison nous devrions payer des impôts pendant 10 ans pour couvrir les sommes investies. Je ne crois pas non plus, que les banques aient remboursé toutes ces sommes. Et vous avez raison, nos dirigeants n’ont pas le courage politique nécessaire, ils ont surtout trop d’amis. il ne faut pas avoir d’amis pour gouverner.