Commentaire de zelectron
sur Une décennie perdue
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Michel,
Comment s’appelait ce banquier allemand du début du siècle dernier qui d’emblée refusait le prêt que lui demandait un de ses clients et qui au bout de quelques mois ou plus encore s’en faisait un ami, connaissait sa femme et ses enfants, était reçu à sa table et les recevait à la sienne et... lorsqu’il était sûr de sa valeur d’homme lui prêtait encore plus d’argent que l’autre lui en avait demandé. La jalousie de ses confrères banquiers devant sa fortune immense fit qu’il termina mal me semble-t-il... Et pourtant tout est une question de confiance, n’est-ce pas ? Hormis l’infâme jalousie !