Commentaire de Pierre Boisjoli
sur Bonheur aux vaincus !
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On dit qu’une faute avouée est à moitié pardonnée. Il faut savoir ce que l’on corrige par suite de son mea culpa. On peut retomber facilement dans la même gangrène. Quant à Bardamu, je lui dirait que celui qui est sans péché lui lance la première pierre. Il est tout de même bon de savoir qu’un fonctionnaire à l’interne pense comme soi. Merci Michel Santi.
Pierre Boisjoli
Le conseiller divin
le seigneur des seigneurs
le roi des rois
le prince de la paix