Commentaire de JL
sur Le (toujours) vert démon du retour au foyer
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Julie Dep,
Cela ne contredit pas le propos, non certes et vous ajoutez vous-même : « en fonction de leurs besoins ponctuels les sociétés régissent sous de faux prétextes le mode de vie de leurs citoyens... »
Je ne vous le fais pas dire.
C’était précisément le sens de mon intervention : les discours féministes se sont répandus dans la presse féminine en même temps que se sont multipliées les offres d’emplois dans les Petites annonces : on avait besoin de vendre des gadgets, et on avait besoin de salaires féminins pour les acheter. On a débauché les foyers.
Qu’est-ce que les salariés ont gagné ?
Dans ma jeunesse, mon père avec son modeste salaire d’une « société nationale » faisait vivre sa famille. Maintenant, avec la « crise », non seulement deux salaires pour un même emploi sont nécessaires mais surtout, peu nombreuses sont les familles où entrent deux salaires ! Et cela va en s’aggravant. De fait, la part du travail a régressé dans le partage de la valeur. Merci qui ? Merci les féministes, alliées objectifs du Medef, merci badinter.
Aujourd’hui marasme économique, chômage de masse, précarité, mais toujours les mêmes féministes ... Les femmes se trompent de combat : elles ont voulu être « des hommes comme les autres », et ne sont devenues que des concurrentes de leurs conjoints. Qui a dit : diviser pour régner ?