Commentaire de Romain Desbois
sur Libertad et le culte de la charogne
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Romain Desbois
27 février 2010 21:46
Souvent on ne pleure pas sur le mort mais sur notre peine de savoir la personne qu’on aime morte.
C’est en fait sur notre peine que l’on pleure.
Ce qui ne change rien au respect que l’on peut porter à toute personne en peine.
Je pleure plus sur les vivants que sur les morts.
Ni adieu, ni à mettre.