Commentaire de Wàng
sur Le pape contre la médecine
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En tout cas, allèger les souffrances n’était pas sa priorité absolue. C’est très chrétien : souffrir pour le salut de l’âme. Quelle différence avec la perversion de Leopold von Sacher-Masoch ?
Sans rentrer dans le détail au sujet du rôle de la souffrance dans la religion chrétienne, car c’est de la théologie, on peut déjà retourner cette question :
Quel serait l’intérêt d’une religion qui ne propose aucune explication, qu’elle soit partielle ou complète, au mystère le plus révoltant, qui est celui de la souffrance ?