Commentaire de ddacoudre
sur L'enfant face aux prédateurs


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ddacoudre ddacoudre 12 avril 2010 19:07

bonjour voris

tu persistes et signes, ok . la difficulté de plus en plus prégnante de notre société et la réduction des seuils de tolérance qui nous conduiront au « fascisme » tolérance zéro , mais nous y arriverons grâce à la confusion des genres dont l’on sait déjà entretenu par commentaire, la victimisation aussi induit une perception de plus en plus indifférencié de la souffrance.
dans cette démarche il faut alors allez jusqu’au bout et comprendre que les premier « prédateur des enfant sont leur parents, ensuite les plus grande sectes sont celle qui accèdent aux pouvoirs temporel, enfin a force de partir à la chasse du criminel nous allons finir par dire que la vie est criminelle, puisque ce terme est de plus en plus employé dans nombres de situations ou il n’y a aucune démarche d’une volonté de tuer sauf là où elle est évidente dans les guerres.

nous sommes des être psychiques et c’est par nos sens que nous organisons cette structure, aussi la définition et la représentation de tout est importante, c’est ainsi que nous pouvons fabriquer des souffrances et en supporter d’autres.
je t’accorde pour savoir à force de te lire que tu n’es pas mal intentionné, que ce mouvoir dans cette difficulté n’est pas facile, et que naturellement nous avons tendance à suivre la mode consensuelle, elle est faite pour cela, et les médias en sont d’excellents divulgateurs.

néanmoins la diminution du seuil de tolérance modifie les repères essentiels qui peuvent nous faire comprendre quand nous franchissons des limites privative de »liberté« biologique, celle de tout animal de disposer d’un lieux sécuriser ou reposer sa vigilance, pour ne pas développer des névroses et atteindre les bords du »délire"(comme la tolérance zéro), même s’il est consensuel et majoritaire. nous trouvons cela dans des écrits hébraïques, comme quoi il s’agit bien d’une constante d’équilibre. et cette société dans la chasse au crime devient folle, non pas qu’elle est tort de poursuivre le crime, folle de croire qu’elle pourra extirper du cerveau des hommes, (même avec des moyens modernes de surveillances et d’infiltrations qu’ils soient comme dans cette émission du même nom ou dans les électroencéphalogramme de vérité et autres), la part d’hombre qu’ils ne peuvent divulguer même s’ils le voulaient, parce qu’ils ne peuvent pas faire état de toutes les émotions qui les submerges et vivre en même temps, il y a là une impossibilité biologique temporelle.

c’est pour cela que le fait, reste le déterminant le plus incontestable, et l’intention la plus perverse.

cordialement.

cordialement.


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