Commentaire de dupont
sur Sexe, la révolution française
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Le sexe. Avant on en rêvait tant et tant « que les draps s’en souvenaient ». On l’idéalisait, c’était Tristan et Yseut, Roméo et Juliette mais en version solitaire et coupable qu’il fallait dénoncer à Monsieur le curé pour être absous, jusqu’à la prochaine fois.
C’était la version pudibonde, celle où les curés aimaient autant se soucier de la culotte des citoyens que de leur âme.
Puis, c’est revenu, comme avant, au temps du libertinage où marquises et bergères étaient culbutées l’une sur le foin (attention à la fourche), l’autre sous baldaquin. Et ça occupait le monde au moins autant que maintenant, la télé en moins mais avec glaces au plafond plus fréquentes.
Aujourd’hui, c’est vrai on en parle plus. La culture du résultat, de la performance : et 27 vagins à mon actif et 12 pénis au mien dont 3 de plus de 22 cm...
La question au bout du bout : les gens sont-ils plus heureux ? J’ai demandé à un bonobo, n’a pas su me répondre.