Commentaire de Lucien Denfer
sur Les trottoirs de Montreuil sont durs aux miséreux
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Entre le reproche qui leur est fait de ne pas se prendre en charge, d’être des boulets aux pieds de la communauté des honnêtes travailleurs (catégorie qui s’amenuise) et la soit-disant gêne occasionnée par leur activisme de pacotille qui leur permet à peine de survivre en fourguant des broutilles sur les marchés, on constate encore une fois que c’est l’existence même des miséreux qui dérange certains.