Commentaire de NICOPOL
sur Les barbares aux portes de Paris
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@ Foufouille,
Eh, si, des boulots (enfin, des « stages qualifiants » avec engagement d’embauche), mais voilà, privés de leur « encadrement », ces malheureux « jeunes des cités » s’effondrent littéralement, se remettent à rien branler, se droguer, dealer, insultent (dans le meilleur des cas) leur employeur si celui-ci a le malheur de leur faire une réflexion, puis ne se présentent plus à leur stage, et se font finalement foutre à la porte (en criant au racisme et à la discrimination....) et retournent à la case départ (et même pire)...
Par contre pas du tout compris ce que l’ « esclavagisme » vient faire là-dedans (sauf bien sûr à ce que fissiez partie de ceux qui pensent que le travail en soi est esclavage, auquel cas nous ne partageons pas les mêmes valeurs, comme on dit).
Cordialement,