Commentaire de Le péripate
sur Vuvuzela sociale
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Où l’on apprend que la vie commence à la retraite. Car sinon je vois mal où sont volés ces deux années de vie.
Ce qui éclaire d’un jour cru l’ambition de vie de certains. Larves de la naissance à la fin des études, chenilles du jour du premier emploi jusqu’à la retraite, et, enfin, l’apothéose papillonesque, la seule vie qui vaille la peine d’être vécue.
La rançon de cette version post-chrétienne du Paradis étant bien sûr une vie de larve du début jusqu’à la fin, à manger dans la main de son Maître, l’État.
Sinistre.