Commentaire de voxagora
sur Anelka-Ribéry : la déroute des « racailles »
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Quand un Président de la République,
en exercice et en représentation,
envoie tranquillement à un badaud qui ne veut pas de sa main sur lui :
« casses-toi pauvre con ! »
(pourtant infime partie émergeant de son incommensurable mépris),
on ne peut s’empêcher de penser, en tout cas c’est mon sentiment,
qu’il n’y a pas loin de la coupe (!) aux lèvres.