Commentaire de Yohan
sur Anelka-Ribéry : la déroute des « racailles »
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De la discrimination, il y en a, mais ça t’arrange bien d’en faire une généralité. Les employeurs sont capables de distinguer un capuché qui n’aligne pas trois mots de vocabulaire et qui arrive en retard au rendez vous d’embauche avec des écouteurs sur les oreilles et un gars des cités éduqué, formé et taiillé pour le boulot. Je n’ai pas de problème à placer le dernier.