Même si c’est juridiquement une criminelle, pour moi, je le répète, au niveau de la motivation, ça relève plutôt de l’avortement. Sauf que c’est pratiqué d’une manière aussi choquante qu’illégale. Et là, il doit y avoir quelques phobies à l’origine de ça, mais je parlerais même pas de pathologie.

Il ne faut pas se laisser impressionner par ce jeu médiatique qui, au nom du St-audimat tente d’en faire « The big monster of the summer » en surfant sur l’image du bébé qu’on étouffe.

Pour moi, cette dame n’est pas un danger social. Une peine avec sursis après quelques semaines de préventive, histoire qu’elle prenne conscience, et avec un accompagnement psy pour lui faire comprendre que la pilule, c’est pas pour les martiennes. A mon avis, ça devrait suffire pour qu’on n’en entende plus parler.