Commentaire de Le péripate
sur Entre Sarkozy et Le pen : l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette


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Le péripate Le péripate 7 août 2010 00:23

 smiley

C’est bien ce que je dis. Je me fatigue pour rien. Le sophisme de la pureté maintenant. Méfie toi Jaja, le fascisme est justement de ce côté là.

Allez, bonsoir. Le fascisme ne passera pas cette nuit, on peut dormir.


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