Commentaire de Paradisial
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Paradisial Paradisial 9 août 2010 16:26

A l’escargot ventriloque,

L’électrocution correspond à la réception d’un coup de taser très puissant. L’animal reste conscient, mes ses réactions nerveuses (à l’émission) sont annihilées (la réception nerveuse ne l’est pas par contre). Si ses yeux restent ouverts, il peut continuer à regarder, s’ils seraient fermés, il peut continuer toujours à entendre, si son corps ne réagit pas son conscient continue toujours à ressentir tout stimuli extérieur, et donc, en sus de la douleur et du long raidissement musculaire ressentis durant et après l’électrochoc, l’animal peut continuer à ressentir tout sévisse et toute douleur subit après ledit électrochoc malgré sa « passivité » apparente.

L’abattage industriel consiste systématiquement à :

1 - électrocuter l’animal,

2 - le suspendre par la suite par une seule patte (alors qu’il pèse plusieurs quintaux),

3 - éventrer l’animal, du bas ventre jusqu’au sommet du torax (l’animal toujours vivant),

4 - lui donner un coup de couteau en plein coeur (ce coup n’est pas directement fatal, et donne beaucoup de temps à l’animal pour agoniser, et contrairement à ce que croient les bouchers, ce coup ne permet pas au corps de s’évider de son sang, par ce que tout simplement le coeur joue un double rôle de succion et de pompage, donc une fois cet organe gâché, le sang ne ressort pas de l’animal)

5 - avant même d’être complétement tué, souvent les bouchers peuvent procéder au dépeçage mécanisé de l’animal

Durant ces cinq étapes l’animal reste conscient.

La mise à mort par pistolet, quant à elle, elle contient une assez bonne série de ratés. La balle n’est presque jamais systématiquement mortelle. Toujours conscient et très souffrant, l’animal peut passer par les cinq processus précédents.

Dans la façon de faire islamique, l’égorgement direct de l’animal conscient contrecarre à touuuus ces inconvénients là, en plus qu’il permet une singulière épuration de la carcasse de l’animal de son sang, de ses toxines, et de ses hormones, sans oublier le côté spirituel donnant du sens et de la valeur à la chose mangée.

Dès que l’afflux du sang est coupé du cerveau, par l’action de trancher les carotides, l’animal tombe inconscient, même si sa mort semble brutale et spectaculaire, techniquement et empiriquement l’animal est vraiment INCONSCIENT.

En campagne, le franchouillard procède encore à l’abattage des porcs et des truies d’un coup de poignard dans le coeur, après avoir donné un coup transversal dans le lard près des cottes. Cette mise à mort est plus pire et douleurouse que l’égorgement de l’animal. Ne parlons pas des campagnards qui abattent encore leur nourriture d’un coup sur le crâne.


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