Le problème avec la production de Catherine Ségurane est le même qu’avec celle de Riposte Laïque : des empilements sans fin de tracts militants, et non journalistiques, qui peuvent certes informer d’événements non couverts par la presse (il est amusant à cet égard de constater que les internautes citoyens s’en offusquent dans un sens pour s’en flatter dans l’autre), mais dont le traitement hystérique, sans recul, n’entraîne que l’exaspération.

Pour ce texte en particulier cependant, il faut entendre quelque chose de ce que relate M. Cordonnier : les profanations de lieux chrétiens ne sont jamais considérés comme un affront violent envers une communauté.
C’est peut-être ce qui exaspère les commentateurs, plus prompts à défendre les « victimes du racisme français » que les « victimes du racisme anti-français », en niant purement et simplement un constat, simple constat rapporté par ce spécialiste.
Et rapporté par cette paroissienne, où si l’on brûle une église c’est « parce que vous priez Jésus ».
Vous trouvez ça normal, vous qui hurlez à l’extrême-droite ? Moi non.
Mais grâce à vos cris mono-orientés, de communautés en communautés la France compte les points médiatiques et les actes politiques en espérant qu’une sorte de justice soit accordée, en terme de reconnaissance, et la confrontation menace.