Commentaire de Pierre R. Chantelois
sur Voir évoluer Nicolas Sarkozy en dehors de la France
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Paul
Rappelons-nous l’épisode du vote de l’irlande au Traité de Lisbonne. En 2001, les Irlandais avaient rejeté le traité de Nice à 53,9 %. En 2002, ils se prononçaient pour le traité de Nice, à 62,9 %. En juin 2008, les Irlandais avaient rejeté le traité de Lisbonne à 53,4 %. En 2009, ils se prononçaient pour le traité de Lisbonne à 67,13 %. Et c’est à cette occasion que l’ambassadeur d’Irlande déclarait dans une entrevue : Des deux côtés du débat, en Irlande aussi bien qu’à travers toute l’Europe, se trouvent des personnes qui ont des réelles inquiétudes au sujet de la direction que va prendre l’Union européenne à l’avenir. Il nous semble que les gouvernements nationaux et les institutions européennes doivent continuer à leur prêter une attention nécessaire alors que nous poursuivrons les objectifs prévus par le Traité de Lisbonne.
L’Europe inquiète. Cela ne semble faire aucun doute. Sauf peut-être à Nicolas Sarkozy qui a tenté de l’instrumentaliser.