Bonjour,

La violence est inhérente à la vie sur terre. Pour nous autres humains, le dépassement ou l’ancrage de la violence dans le comportement social a ses sources dans la prime enfance, quelquefois même a la naissance et peut-être aussi pendant la gestation.

En cas de doute lisez Alice Miller : « c’est pour ton bien ».

Le cas d’Hitler peut être considéré comme un cas intéressant à étudier, à cause de l’immense violence déchaînée autour de sa personne (les causes de cette violence sont multiples, économiques, sociales et finacières, enre autres, et ne tiennent pas qu’au personnage, bien que son rôle dans le déclenchement de cette violence soit indiscutable).

Ce cas est délicat à manier car :

1 - Comme tout ce qui est historique, et surtout quand on va dans les détails, on ne peut faire que des présomptions, même si un fisceau de faits tend à les accréditer.

2- les sujets connexes dans ce contexte historique sont encore tellement chargés aujourd’hui qu’ils n’amènent que de la dispersion autour du thème central de la génèse de la violence.

3- le sujet trop fascinant pour beaucoup (par la trangression totale du sentiment d’humanité qui a accompagné le phénomène) pour permettre une approche saine.

Si on cherche à dépasser la violence et la souffrance qu’elle engendre, la source la plus efficace d’étude sur le sujet de la violence c’est avant tout soi-même.

Comment se fait-il que l’on insulte, méprise, dénigre moque ou ignore un autre (il y a des formes de violence subtiles - chacun la sienne) a la première divergence d’opinion  ?

Agoravox comme terrain de recherche et d’investigation personnelle ? Tout un programme !

Amitiés et paix a tous.