Commentaire de eric
sur Et s'ils voulaient nous affamer ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

eric 12 octobre 2010 09:52

OUh la la ! Tous cela est bien contrariant et préoccuppant ! Heureusement il existe deux signes d’espoir.
1 Depuis un truc du genre 150 ans, dans les pays libéraux capitalistes, la nouriture n’est pas un moyen de pression sur les citoyens. Non seulement il n’y a plus eu de famine, mais, l’alimentation s’améliore, sont coût relatif dans les budgets des ménages diminue en tendance, on exporte des surplus et même on peut aider gratuitement les plus pauvres contribuant à diminuer considérablement les famines. Hors socialisme et/ou dictature et guerre, il n’y a plus eu de très grandes famines durable même dans les pays pauvres depuis longtemps.
Notons en passant que plus les pays sont libéraux, plus ils aident, gratuitement, et pas seulement en exportant, mais égalementen achetant sur place pour ne pas déstabiliser les agricultures locales. Les plus généreux sont les plus libéraux EUA ( 50% à eux tous seul), GB Canada. Plus, aussi, ils sont soucieux d’écologie, de bio diversité et de développement durable
Avec l’élargissement de la démocratie libérale à de plus en plus de pays, nul doute que l’on s’achemine vers une amélioration alimentaire globale dans la « durabilité »

2 Parmi les éocolobio alter, tous ne se contentent pas de dénoncer pêle mêle, les supermarché, les agriculteurs, les entrepreneurs, les bourses, etc... bref, dans une réactualisation un peu poussive du bolchevisme archaïque l’économie de marché et la démocratie au sens large. Ceux là, on a un peu l’impression que la faim dans le monde ou le risque écologique, au fond, ils s’en foutent un peu, tous cela pourrait bien être un paravent idéologique au service de leurs ambitions personelles.
Mais il y en a aussi, très peu, qui font de la vraie culutre bio, avec un vrai souci de la bio diversité, qui bossent dur dans des condition sprécaire et même, consacrent une partie de leurs rares loisirs, non à aller pontifier aux forums alter, mais à aller aider concrètement des agriculteurs du tiers monde.

Il en faudrait tous juste un tout petit peu plus pour nous mettre définitivement à l’abri de toute main mise par qui ce soit sur notre agriculture.

Oui mais voila : il est plus sympa de se lever tard pour aller à un fauchage ou une manif anti ogm que de se lever tôt pour aller désherber à la main. Et puis, l’essentiel des militants sont des fonctionnaires ou para fontionnaires. Renoncer à la tiedeur de service public et des subventions pour s’en aller peiner au champs, même si c’est pour sauver l’humanité...

Pourtant, il existe une solution : les intermittent de l’écologie. En subventionnant les enfants de la classe moyenne de gauche sur le dos des cotisation schômage des travailleurs, on a susité 120 000 vocation pour aller faire du théâtre engagé chez les migrants srilankais, c’est bien le diable si on ne parvient pas au même résultat avec le bio.
OUi, mais, me direz vous, les caisses sont vides.

Là, le choix est politique : certe, la culture n’a pas de prix ( juste des coûts), mais entre préserver l’exception culturelle française en animant les loisirs des bénéficiares des 35 heures et sauver le monde, n’y a-t-il pas un choix à faire ?

Alors oui ! Il faut réorienter au moins en parti nos système subventionnaires pur permettre aux plus conséquents des alterbio, d’aller sauver de leurs mains les précieuses semences et par là notre bine le plus précieux, notre agriculture. cela tombe bien, si les citadins ne savent effectivement pas faire pousser grand chose, ceux là au moins savent un peu faucher.


Voir ce commentaire dans son contexte