Commentaire de Catherine Coste
sur Sans la vigilance de ses proches, la patiente aurait-elle été prélevée vivante ?


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Catherine Coste Catherine Coste 21 octobre 2010 11:51

Lisez l’enquête OPTIDO, si je puis me permettre un conseil. L’obligation de recensement des potentiels donneurs en amont de la mort encéphalique met les soignants mal à l’aise ... Donc : bien sûr que l’équipe médicale était de bonne foi. Elle a agi selon les directives. Ces directives peuvent parfois s’avérer problématique. On n’élargit pas le « pool » des potentiels donneurs sans que cela passe inaperçu, autrement dit, on ne fait pas d’omelettes sans casser d’oeufs. Le Dr. Jean Leonetti, rapporteur de la loi bioéthique actuellement en cours de révision, ne dit pas autre chose au grand public dans son livre publié en janvier 2010 chez Plon : « Quand la science transformera l’humain. 20 scénarios pour demain ».

http://ethictransplantation.blogspot.com/2010/10/les-failles-du-marketing-social-du-don.html

Merci pour votre réaction, elle prouve (point de vue qui n’engage que moi) à quel point nous sommes tous et toutes conditionné(e)s par le marketing social du « don » ...


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