Commentaire de Abderraouf
sur L'islam en question : un devoir de vérité


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Abderraouf 30 octobre 2010 08:27

Je précise le propos.

L’épisode de l’arbitrage lors de la reconstruction des murs de la Kaaba à son jeune âge (bien avant les 40 ans charnière), ou encore celui de la persécution à Taef après, sont pour le moins… anecdotiques vous ne trouvez pas. Du moins comparativement à un texte qui parle (excusez du peu), d’un créateur des cieux, de la terre et de toute vie, juge et roi unique d’un jour du jugement.

Bref un « devoir de vérité », comme vous l’entendez voudrait que vous vous mesuriez au contenu du premier texte fondateur, pas aux anecdotes sur la vie du messager (ou supposé tel si vous voulez).

PS : Pour illustrer, le dialogue à Taef que rapporte Tabari, a d’autres versions chez d’autres auteurs (contrairement au texte dont je parle plus haut, à version unique). Ainsi, s’ils s’accordent sur la grappe de raison apportée par le chrétien à cet homme lapidé jusqu’au sang, les autres sources disent que Mohamed lui a posé une question d’où es-tu ?, de Ninive a-t-il répondu, ce à quoi Mohamed a répondu du pays de mon frère Jonas donc. Comment se fait-il que tu connaisses ce nom ? etc… De plus si j’ai bonne mémoire, les sources ne sont pas d’accord sur l’identité de ce chrétien futur converti, Salman le perse pour certains or comme vous le savez Ninine est en Assyrie, pas en Perse… etc.

Bonne journée.


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