Commentaire de Aafrit
sur L'islam en question : un devoir de vérité


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Aafrit Aafrit 30 octobre 2010 23:57

Jean, me semble n’aimant ni les croyants ni les impies de cette religion.
Je vais vous agacer smiley avec un autre « impie » un athée confirmé qui vivait parmi les musulmans le verbe haut, et qui était même apprécié pour son courage, son érudisme et sa rhétorique, par certains notables et califes malgré le fait d’être héréitique.Il n’a pas été assassiné, tué ou jeté au bûcher. A cette époque-ci (1000 AJC) dans un contexte chrétien, avec les mêmes mots je ne crois pas qu’il puisse dire ce qu’avait à dire sans problèmes majeurs, vous qui parlez de l’Islam comme si elle était une religion de gavage du cerveau, une religion de conneries répétées sans esprit critique, etc, etc. (Et je ne défends aucune religion, o combien j’ai horreur qu’on me dise, tiens c’est nous la vérité, surtout chez certains les monothéistes, mais c’est juste pour rappeler quelques réalité et éviter les idées qui sont fondées sur rien à part la propagande qui tue justement l’esprit humain plus qu’il ne fait le message de la religion ) : Tenez, méditez : smiley

Almaari 973- 1057 :

Réveillez-vous, réveillez-vous, ô égarés !
Vos religions sont subterfuges des Anciens.
Ils disent que le Temps mourra bientôt,
Que les jours sont à bout de souffle.
Ils ont menti – ils ignorent son échéance.
N’écoutez pas ces champions de fourberie.

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Les gens voudraient qu’un imam se lève
Et prenne la parole devant une foule muette.
Illusion trompeuse-il n’est d’imam que la raison,
Notre guide de jour comme de nuit.

Peut-être dans les temples se trouvent-ils des gens
Qui procurent la terreur à l’aide de versets,
Comme d’autres dans les tavernes
Procurent du plaisir.
Les lois divines ont semé parmi nous la rancune
Et nous ont apporté toutes sortes de malheurs
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La religion-commerce de morts
Pour cette raison, c’est un objet invendable
Parmi les vivants.
Le livre est devenu trompettes des égarés,
Et les versets, mélodies.
Ils en ont joué, puis dans leurs infamie,
Les ont agitées comme des épées
Sur l’homme paisible qui veille
au clair de Lune




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