Commentaire de jack mandon
sur Le directeur de prison est une victime
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L’auteur
La quantité ne fait rien à l’affaire, ce n’est pas parce que l’unanimité des commentaires
se distinguent par leur jugement réactifs qu’il faut en déduire que l’article est mauvais.
C’est un point de vue sensible condamné par des réactions de peur.
Ce fonctionnaire de prison n’a rien vu venir, trop absorbé qu’il était
par les belles théories scolaires et la méconnaissance de la psychose.
Ce n’est pas un cas isolé, les juges, les enseignants et autres professionnels
des relations humaines ont une vision intellectuelle de l’humain et se trompent souvent.
Les bavures sont nombreuses à ce niveau de responsabilité.
Les maladies psychiatriques nous posent encore beaucoup d’interrogations.