Commentaire de Claude Simon
sur Le mirage de la monétisation remède miracle
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Non, il serait d’un point de vue de marché logique que si la demande de titres est supérieure à l’offre, les taux baissent. Or, ce n’est pas le cas.
Bel exemple de gabegie des milieux financiers par l’état lorsque l’on refuse un néon un juge, qu’un anésthésiste doive tourner sous coke pour assurer ses 48 heures de garde, que des contractuels n’ont pas vu leur salaire augmenter depuis 20 ans, même pas indexé sur l’inflation, etc.
Et qu’on ne vienne pas d’accuser de vouloir favoriser le public, j’ai toujours travaillé dans le privé. Mais ça en devient tellement lamentable, et minable d’expliquer à un banquier qu’il n’a pas de raison fondamentale de pleurnicher...