Commentaire de Petitou
sur Abattage médiatique
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Il ne s’agit pas ici de compassion pour Galliano même si je n’oublie pas les leçons bouddhistes : ce sont les idées que je combat et pas les hommes.
Chacun a le droit de penser et dire ce qu’il veut, tant qu’il fait pas chier les autres avec ses idées.
Qui suis-je pour m’ériger en directeur de conscience ? Dicter la morale ? Le bien et le mal ? Surtout dans la pensée. Nous ne sommes pas supérieurs aux autres sous prétextes que d’autres idées nous habitent.