Commentaire de Ariane Walter
sur Fukushima, et maintenant... ?
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Leur exemplaire dignité, tu parles !
Quelle naïveté !
leurs patrons ne leur donnent pas l’autorisation de quitter Tokyo. C’est tout.
Ils sont des esclaves à qui on dit « soyez courageux car ça nous arrange : »
Et à nous on dira : « qu’est-ce vous pleurez pour trois ans de plus de boulot ? Vous avez vu les Japs face au tsunami ? »
Mais on commence à connaître leur grand ordre mondial :
travaille et crève !