A calmos : Ah non ! Comme vous, je suis extrêmement attache a notre service public, et je suis convaincu que la culture, si elle a des couts, n’a pas de prix, quelle que soit sa qualité. Mais quand même ! Quand nos trottoirs débordent de retraités réduit a collecter les trognons de choux après les marchés ecolobio du quartier Latin, pour se nourrir. Quand d’innombrables familles n’ont plus qu’une odieuse promiscuité humaine pour se chauffer. Quand certains en sont réduit a se restreindre sur leur machine a laver, les douches chaudes le savon et le shampoing pour arriver a payer leur forfait internet et téléphone mobile et leur billet d’avion pour porto allègre, nous n’avons plus le droit de continuer a profiter d’un service public que le monde nous envie, mais que nous finançons au détriment des plus pauvres. Si on prend 100% des dividendes de toutes les entreprises, on aura 5% de pib en les tuants, si on économise sur les dépenses publiques de 10% on aura plus.
Priorités aux pauvres ! Priorité a l’efficacité ! Le social est a ce prix. Viront des fonctionnaires, sabrons dans les budgets. Tient 120 000 intermittents, 900 millions d’euro de déficit du régime, cela fait déjà plus de 100 euro pour chacun des 8 millions d’exclus dont il est question ici. De quoi payer la hausse de l’électricité...

Bon, on aura plus Cali, c’est triste, mais la préférer au chauffage des pauvres est une forme de mépris bourgeois pour la misere a la limite du supportable !