Rien n’a changé depuis l’antiquité : des jeux pour distraire les sots et du pain pour qu’ils la ferme. Aujourd’hui les salariés la ferment devant les injustices, l’ignoble sur les lieux de travail. Ils baissent la tête. Elle se relève que devant les téléviseurs où ils « gagnent » par équipes interposées au mieux, comme supporters au pire. Mystifiés jusqu’au trognon, ils ne se rendent même pas compte de la situation. Ils acclament des joueurs qui les méprisent, tellement ils sont fiers de s’être extirpés des milieux dont ils sont issu. Ces sportifs là sont ils des misérables ou bien est ce que ce sont les dirigeants des fédérations qui participent activement à l’abrutissement des esprits ? Il me semble que les raclures qui dirigent en arrière plan les chaînes de télévision sont ceux de la pire espèce.